Aloha a Oahu

Pour me mettre dans l'ambiance des vacances, j'ai regardé pour la première fois la série Lost avant-hier. Vous savez cette série où un avion en partance de Sydney à destination de Los Angeles se scratche sur l'ile de Kauai...
...Les paysages sont magnifiques...

Je suis donc partie hier matin comme prévu en direction de l'aéroport d'El Paso. Et comme je commence à maitriser les aéroports américains, j'avais mis la tenue adéquate: claquettes aux pieds car il faut se déchausser à chaque X-ray, pas de ceinture pour la même raison et tous mes petits flacons de gouttes pour mes petits yeux opérés d'il y a un mois dans une pochette zippée
Les neuf heures de vol se passent très bien, quoique les atterrissages ont été à chaque fois plutôt secoués.
Petit apartés pour les hommes. Oubliez le mythe des belles hôtesses de l'air, du moins sur la compagnie US Airways. A chaque fois que j'ai voyagé avec elle, les hôtesses ont toujours été  d'un manque d'amabilité déconcertant et d'un manque de classe total. Je pense que c'est la compagnie des fins de carrière. Certaines ont même plus que l'age de la retraite. Mais bon, là, je m'égare

Je suis donc arrivée à Honolulu hier après midi et avec vingt minutes d'avance. Je me réjouissais déjà à l'idée de parcourir la ville tout l'après midi. C'était sans savoir ce qui allait m'attendre!

Je l'avais lu, il est vrai, les hawaiiens sont très accueillants et très paisibles. Mais ce qui me connaissent bien ne seront pas surpris par ce que je vais avancer là : il n'y a rien de plus stressant pour moi, que les gens qui ne sont pas stressés, ou disons plutôt, que les personnes qui vivent au ralenti.
Cela commence au tapis pour récupérer les bagages. L'attente est longue et l'avance gagnée sur le vol est déjà écoulée. Le temps de patienter, je discute avec ma voisine. Elle habite ici et me confirme que c'est toujours comme ça. Au total, il aura fallu attendre quarante minutes pour que le tapis se mette finalement en route. Allez, ce n'est pas grave, ce sont les vacances. Soyons zen. 14h45 je pars à la recherche du bus.

A ma grande surprise, l'aéroport d'Honolulu pourtant grand est vide. Pas un chat, pas une pancarte non plus. Même l'aéroport de Juarez avec ses deux uniques portes est plus vivant. Où sont donc les fameux bus dont le Lonely Planet vante les mérites? Dehors me direz-vous. Figurez vous que j'y avais pensé. Chargée comme un mulet de 25 kilos sur le dos et d'un petit sac à dos sur le ventre, je sors le bout de mon nez à l'air chaud et humide d'Hawaii. Je trouve finalement quelqu'un à qui demander mon chemin. Et bien les bus: ils sont à l'étage!!!!

15h, je pose enfin mes petites fesses dans le bus aux vitres si sales que je ne vois pas le paysage. Dommage. Mais ce n'est pas grave, dans une trentaine de minutes je serai à mon hôtel et pourrai aller me balader. Une trentaine de minutes? Pensez-vous. Le bus s'arrête tous les dix mètres. Et tous les quinze mètres il y a un feu rouge. Après une quarantaine de minutes de route, je parviens au centre d'Honolulu. Mais mon hôtel se trouve tout au bout de Waikiki, la célèbre plage qui prolonge la capitale vers l'Est. 16H30, le zombie que je suis devenue peux enfin faire le check in.

Le temps de reprendre quelques forces et de commencer enfin à me détendre, je décide d'accomplir mon programme. Je me dirige à nouveau en bus vers le centre d'Honolulu, mais cette fois ci, les mains dans les poches.

Hawaii est le pays des fleurs. Tout autour de moi, des fleurs tropicales, et toutes sortes d'arbres. Quel bonheur de marcher dans ce cadre si joli. Je visite l'extérieur du capitole et du palais Iolani, je me balade dans les parcs et les rues avant de me rendre en bord de mer. Il est 18h30 heure locale, (soit 22h30 pour moi) et je suis affamée.

 

Comme pour me récompenser de cette longue journée, je trouve un restaurant fantastique: un buffet japonais. Le sourire grand jusqu'aux oreilles, je vais d'admiration en admiration à chaque buffet. Sushis, makis, sashimis, tout à gogo. Il y a aussi des plats vietnamiens, des tempuras, des demies langoustes, des pinces de crabe, des fruits frais, etc.

Je pense ce soir là avoir mange autant avec les yeux qu'avec le ventre.

La nuit tombée, la fatigue m'envahissait, je suis rentrée à l'hôtel au pays de Morphée.

Comments

[oxpdffr]

OX Image en PDF Convertisseur est conçu parfaitement comme l’imprimante virtuelle. Conversion d'Image en PDF est un logiciel polyvalent, qui permet de convertir en documents PDF des images mais aussi de les fusionner et sécuriser. Vous pouvez compresser les images afin de réduire la taile de PDF. Il y a trois styles de compression pour vous choisir. Il peut vous aide à convertir vos photos et vos dessins en PDF et ce qui peut supporter le téléchargement gratuit en ligne.
http://www.oxpdf.fr/image-to-pdf-converter.html
http://www.oxpdf.fr/excel-to-pdf-converter.html
http://www.oxpdf.fr/chm-to-pdf-converter.html
http://www.oxpdf.fr/pdf-creator.html
http://www.oxpdf.fr/tiff-to-pdf-converter.html
http://www.oxpdf.fr/word-to-pdf-converter.html

[lavachequirit]

C"est vrai qu'a Waikiki tu vois tout le monde se promener en maillot de bain dans la rue. Mais il ne faut pas oublier que la majorité des touristes sont américains. Alors le tissus serait un peu plus couvrant que se serait pas plus mal, enfin si tu vois ce que je veux dire.
Pour du court mini rikiki, il faut aller plus dans le sud : en Amérique latine par exemple, n'est ce pas chéri?

[DrMax]

C'est vrai que tu aurais pu tester "les mets locaux", un bon hamburger eut été de meilleur aloi... Pour ce qui est des lenteurs des autochtones, je me suis laissé dire que plus la température augmente plus la vitesse réduit alors que les vêtements rapetissent, il faudrait que tu nous donnes plus d'informations sur ce dernier point. ;oP

[Ton Ange]

Bon je croix pas, que tu n'est pas y aller à hawai juste pour manger de sushi ma bébé.

Bisous bonne continuation.